LA SEPANSO Pyrénées-Atlantiques fait partie de la fédération SEPANSO, elle-même affiliée à France Nature Environnement.
La fédération est déclarée d’utilité publique et nous sommes agréés par le ministère chargé de l’environnement.
Notre fédération est à l’origine de la création des onze réserves naturelles en Aquitaine et en gère quatre. Elles constituent des refuges appréciés pour des milliers d’oiseaux migrateurs et d’espèces protégées.
– Banc d’Arguin
– Marais de Bruges
– Etang de Cousseau
– Etang de la Mazière
Elle contribue aussi à la réhabilitation de milieux, et réalise des études sur la faune et la flore.
La SEPANSO intervient pour éviter les atteintes aux milieux naturels et au cadre de vie des citoyens. Et faire respecter les textes nationaux, européens et internationaux.
Nous participons aux structures de concertation et de décision... dans tous les domaines touchant à l’environnement et à l’aménagement du territoire.
Notre association agit contre certains abus de la chasse, quand parfois ce loisir fragilise des espèces menacées de disparition. Une espèce qui disparait n’est-elle pas une perte de notre patrimoine ?
En s’appuyant sur le code rural, la SEPANSO dénonce le classement en prétendus « nuisibles », concept obscurantiste, d’espèces animales très utiles comme les renards, belettes, martres, putois, prédateurs naturels qui régulent d’autres espèces proliférantes, comme les rongeurs.
La SEPANSO Pyrénées-Atlantiques est ouverte à une coopération avec les associations proches de la nature pour unir nos énergies contre les lobbies de l’agrochimie, des travaux publics et privés, des entreprises de transports routiers qui rongent inexorablement les milieux naturels.
L’homme doit se réconcilier avec la nature et ne plus chercher à l’écraser, la domestiquer, l’aseptiser, sous peine de devoir vivre dans un monde sans vie, sans beauté, sans diversité.
La SEPANSO Pyrénées-Atlantiques, à son niveau, tente avec diplomatie de convaincre certains élus locaux que nos milieux naturels (comme par exemple les abords du gave) ne doivent pas être transformés en aires de pique-nique ou en parcs de promenades...
Une pelouse parsemée de quelques arbres épars et de tables en bois. Des feuilles ramassées régulièrement, une tonte de l’herbe trop fréquente et voici la création artistique d’un béton vert, stérile et presque sans aucune vie. Ces lieux de détente, utiles dans les villes ne doivent pas faire lentement disparaitre les milieux naturels des zones péri-urbaines.